
Nos DVD
Enregistré au Théâtre du Châtelet
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CHOC MONDE DE LA MUSIQUE
ƒƒƒƒ TELERAMA
GRAMOPHONE DVD OF THE MONTH
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La création de cet opéra inconnu de Rossini a été l’un des grands événements de la saison musicale.
« Pour se réconcilier avec l’opéra, direction Le Châtelet ! » écrivait Libération.
« La divine surprise est venue de la mise en scène, étourdissante, rafraîchissante, excitante et pour tout dire bluffante du duo Corsetti-Sorin. » s’exclamait pour sa part Le Monde.
Ce moment a été capté par les caméras de Philippe Béziat pour un DVD ébouriffant… Les bonus permettent de découvrir l’univers de Pierrick Sorin grâce à un film sur son œuvre et une interview de Jean-Christophe Spinosi qui explique ses choix et nous éclaire sur l’interprétation sur instruments d’époque.


Enregistré au Théâtre des Champs-Elysées
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L’action se déroule sur l’île d’Alcina, lieu enchanté où la magicienne a établi son pouvoir en dérobant les cendres de Merlin. Celles-ci, précieusement déposées dans une urne, sont enfermées dans le temple d’Hécate Infernale, sous la garde de l’invulnérable Aronte.
Alcina a accueilli en son château la belle Angelica, fille du roi de Cathay. Éprise de Medoro mais poursuivie de ses assiduités par le paladin Orlando, Angelica a fui les ardeurs de ce dernier et perdu la trace de son amant bien-aimé. Au moment où débute le drame, Orlando, chargé par son mentor Malagigi de reprendre possession des cendres de Merlin afin de détruire le pouvoir d’Alcina, arrive sur l’île enchantée. Astolfo, fidèle compagnon d’Orlando, s’y trouve déjà, victime de l’amour pervers de la magicienne. Ruggiero et sa maîtresse Bradamante, autres fidèles du paladin, s’apprêtent à y poser le pied.
Enregistré au Theater an der Wien
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A l’occasion du 250ème anniversaire de la mort de Haendel, l’opéra de Vienne, réputé pour ses productions d’opéra à la fois innovatrices et en dehors des traditions, a entrepris un projet unique et extraordinaire : la mise en scène d’un des oratorios les plus populaire de Haendel. A cette occasion, l’opéra a fait appel au metteur en scène Claus Guth.
Le chef d’orchestre Jean-Christophe Spinosi triomphe « avec son fabuleux orchestre (Ensemble Matheus) et le chœur subtil d’Arnold Schoenberg » (Suddeutsche Zeitung). Vainqueur du Diapason d’Or et du BBC Music Magazine Award, l’Ensemble Matheus est internationalement réputé pour son interprétation de la musique baroque sur instruments anciens. Ils sont entourés du « meilleur plateau vocal Haendelien » (Frankfurter Rundschau) grâce au talent de Cornelia Horak, Susan Gritton, Richard Croft et Bejun Mehta.


Composée par Rossini à vingt et un ans, en trois semaines, L’Italienne à Alger a d’emblée conquis le public et reste encore aujourd’hui l’un des fleurons de l’opéra bouffe à la napolitaine. Dans cette production filmée au Festival de Salzbourg, les metteurs en scène Patrice Caurier et Moshe Leiser s’en donnent à cœur joie dans une transposition iconoclaste qui réjouit le public : à l’heure où l’Algérie entame sa mutation, cette plongée dans un univers complètement déjanté tient de la BD, de la parodie, de l’opérette et parfois de la franche rigolade. Mais tout cela ne tiendrait pas sans la troupe déchainée menée par une Cecilia Bartoli irrésistible et un Ildar Abdrazakov quasi surréaliste, sous la baguette amphétaminée de Jean-Christophe Spinosi. Il y a là ce qui a toujours été la préoccupation de Rossini, le plaisir !